28 novembre 2011
Sambre, du gaulois samara, tranquille.
Un weekend à batifoler comme ces oiseaux dans les arbres du jardin familial d'Adeline... une balade à cheval dégageant la fumée chaude des émotions ennivrantes de la vitesse et de la communion avec un autre être au sein de l'air froid, brumeux et mystique des bois d'hiver...
et qui se termine par un french coffee au centre ville bien chaud et vivant d'un dimanche soir qui n'est pourtant pas encore des sambres...
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